Au menu de l’actualité : Le chef de l’ONU appelle la jeunesse africaine à continuer de se mobiliser pour le climat. En République démocratique du Congo, l’ONU est préoccupée par le risque élevé de violations des droits humains.Nous revenons sur la Journée internationale des personnes d’ascendance africaine.Présentation : Florence Westergard

Au menu de l’actualité : Gabon : l’ONU condamne le coup d’Etat  Le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale préoccupé par le sort des talibés au SénégalJournée des personnes d’ascendance africaine Présentation : Cristina Silveiro

Au menu de l’actualité : Les ministres africains de la Santé se mobilisent face à la résistance antimicrobienneAu Niger, les humanitaires continuent à porter une assistance jugée critiqueMali : la MINUSMA tient compte de l’environnement alors qu’elle prépare son départ  Présentation : Cristina Silveiro

Le deuxième Forum permanent des personnes d’ascendance africaine s’est tenu récemment au Siège des Nations Unies à New York en vue de promouvoir, protéger et respecter les droits humains de toute personne d’ascendance africaine. Yvens Rumbold est Directeur de communication, stratégie et développement de Policité, une organisation qui cherche à promouvoir des politiques publiques inclusives pour le développement en Haïti. Dans un entretien accordé à ONU info, il explique que le respect des droits des personnes d’ascendance africaine est un mouvement qui a commencé il y a longtemps en Haïti, mais que la discrimination raciale perdure dans son pays. Il aborde non seulement la justice réparatrice mais aussi la question de migration des personnes d’ascendance africaines et comment la société civile doit faire partie du processus d’élaboration de politiques publiques.

Au menu de l’actualité : Au Niger, le HCR s’inquiète des perspectives humanitaires Au Mali, le retrait progressif de la MINUSMA est sur la bonne voie En Ethiopie, l’ONU est inquiète de la détérioration de la situation des droits humains.  Présentation : Jérôme Bernard

Au menu de l’actualité : La MINUSMA quitte le pays, mais les Nations Unies restentL’ONU appelle à des élections pacifiques, inclusives et transparentes en LibyeUkraine : l’UNESCO forme 15.000 psychologues scolaires pour soutenir les élèves et les enseignants Présentation : Cristina Silveiro

La Mission des Nations Unies au Mali, la MINUSMA, a commencé son retrait progressif du pays à la demande des autorités maliennes de transition. Ce retrait doit s’achever le 31 décembre 2023.Avant une réunion du Conseil de sécurité consacrée lundi 28 août à la situation au Mali, ONU Info s’est entretenu avec le chef de la MINUSMA, El-Ghassim Wane.Lors de cet entretien, il a souligné que pendant les près de dix ans de déploiement de la MINUSMA « des résultats appréciables ont été réalisés ».Il a aussi adressé un message aux Maliens : « La MINUSMA s’en va, mais les Nations Unies restent ».  Entretien réalisé par Jérôme Bernard

Même avant la crise politique qui sévit au Niger depuis le 26 juillet, le pays sahélien comptait déjà plus de 3 millions de personnes en insécurité alimentaire sévère et plus de 4 millions de personnes ayant besoin d’assistance humanitaire.C’est pourquoi, malgré la crise, le Programme alimentaire mondial (PAM) et les autres agences humanitaires de l’ONU s’engagent à poursuivre leurs opérations.Le pays se trouve toutefois désormais sous sanctions, avec ses frontières et son espace aérien fermés. Des mesures qui impactent la population ainsi que la capacité des humanitaires de mener à bien leurs activités. Ces derniers demandent des exemptions humanitaires dans l’application des sanctions, à la fois pour laisser passer les cargos de fournitures bloqués aux frontières mais aussi pour orienter les ressources financières suspendues vers des canaux comme les Nations Unies afin que les populations puissent continuer à en bénéficier.Les précisions de Jean-Noël Gentile, Représentant du PAM au Niger. (Interview :  Jean-Noël Gentile, Représentant du PAM au Niger, propos recueillis par Cristina Silveiro)

Au menu de l’actualité :Au Soudan, la guerre et la faim pourraient faire basculer l’ensemble de la région dans une catastrophe humanitaire, alerte l’ONU.Au Niger, les sanctions et la fermeture des frontières mettent en péril la continuité des opérations humanitaires.Au Pakistan, un an après les inondations catastrophiques, des millions d’enfants ont toujours besoin d’une aide urgente.Présentation : Florence Westergard

L'utilisation de l’intelligence artificielle générative (IA) comme ChatGPT suscite des inquiétudes quant à la perte d’emplois.  Toutefois une nouvelle étude de l'Organisation internationale du Travail (OIT) révèle que pour le moment l’IA générative est plus susceptible d'augmenter que de détruire les emplois, notamment en automatisant certaines tâches plutôt qu'en remplaçant entièrement un rôle.  L'OIT note toutefois que « les résultats de la transition technologique ne sont pas prédéterminés ». « Ce sont les êtres humains qui sont à l'origine de la décision d'incorporer ces technologies et ce sont eux qui doivent guider le processus de transition ».Pour en savoir plus nous avons joint Pawel Gmyrek, chercheur principal à l’OIT et l’un des auteurs de l’étude. (Interview :  Pawel Gmyrek, chercheur principal à l’OIT et l’un des auteurs de l’étude; propos recueillis par Cristina Silveiro)